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Rentrée dans la joie et la bonne humeur... ou pas ! [PM]
ϟ you belong to the world, and when it screams your name back, don't pretend you don't hear it.
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Message Posté Dim 6 Mai - 0:52.


Rentrée dans la joie et la bonne humeur...
ou pas !

★ noms des participants: Aurélia D. Coutellier et Erandor H. Volkov-Black
★ statut du sujet: Privé.
★ date: Pendant la pré-rentrée, fin août 2056.
★ heure: Dans la journée.
★ météo: Beau temps, soleil.
★ saison: Saison 2.
★ numéro et titre de l'intrigue globale en cours: Justice doit être rendue !
★ numéro et titre de l'intrigue en cours: Prélude saison 2
★ intervention de dominus: Non merci.
★ récompenses: Pas encore.





Dernière édition par Aurélia D. Coutellier le Dim 6 Mai - 0:55, édité 1 fois
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Message Posté Dim 6 Mai - 0:54.
Aurélia vagabondait dans les couloirs de l’Académie. Elle était heureuse de retrouver son école qui lui avait manqué pendant les vacances. Les bâtiments n’étaient pas en parfait état, loin de là, mais une action avait déjà été menée afin de boucher les plaies les plus béantes dans le flanc des constructions et d’autres travaux étaient en cours. Il s’agissait de restaurer la gloire de Beauxbâtons, d’accorder l’apparence de l’école avec sa réputation de raffinement et d’esthétisme.

Tous les élèves n’étaient pas encore arrivés, et seuls certains, les plus appliqués, les plus volontaires ou ceux qui s’ennuyaient le plus loin de leurs amis, étaient présents afin de préparer l’année à venir. Une pré-rentrée pour se remettre dans l’ambiance scolaire et retrouver le climat de paix et de sérénité qui avait régné dans l’école jusqu’à l’année précédente.

Jetant un coup d’œil par une fenêtre, la jeune fille vit les jardins, portant encore les stigmates d’une bataille bien trop récente. On remarquait encore des trous béants là où des arbres avaient été déracinés, certains parterres ou les roses ne fleurissaient plus depuis un moment. Le soleil brillait, c’était une merveilleuse journée de fin d’été. Aurélia se sentait calme, en paix avec le monde qui l’entourait.

Elle fit encore quelques pas, ne sachant pas trop où elle allait mais trop heureuse de retrouver cet univers familier où elle avait vécu pendant sept ans, sept années de sa vie passées à étudier à l’académie. Mais, tournant à l’angle d’un couloir, elle tomba nez-à-nez avec une personne bien connue, qu’elle n’aurait pas imaginée se présenter à Beauxbâtons avant la rentrée officielle. Erandor Volkov-Black. Cette mauvaise rencontre ne suffisait pas à éclipser la sérénité de l’Hestia, mais lui fit un certain ombrage. Erandor et elle n’étaient pas particulièrement amis, bien au contraire. Leurs prises de bec continuelles, leurs affrontements incessants lassaient Aurélia. Erandor la considérait comme une inférieure et la traitait avec mépris et dédain. Il la rabaissait sans cesse, c’était tout juste s’il ne l’insultait pas. Mais Aurélia savait que sous le personnage antipathique et trop sûr de lui se tapissait une autre personnalité, seulement elle n’arrivait pas à cerner laquelle. L’Hypnos cachait quelque chose, elle en était certaine, mais elle n’arrivait pas à déterminer quel était son secret. En attendant de le percer à jour, leur affrontements rituels ne cessaient pas et étaient sur le point de reprendre, un peu plus tôt que prévu.

Cette année, Aurélia avait décidé de découvrir définitivement ce que cachait Erandor, à tout prix. Elle savait que cette méthode était la seule qui pourrait cesser le flot d’inepties s’écoulant de la bouche du jeune homme. Elle décida de commencer la conversation brutalement. Elle ne désirait pas tourner autour du pot et voulait poser dès à présent les bases de leur relation cette année-là.

« Bonjour Erandor. Je suis assez surprise de te voir si tôt, j’aurais plutôt tendance à penser que tu tires au maximum parti de tes derniers jours de vacances. »

Elle avait prononcé ses paroles sur un ton suffisant et hautain, son ton habituel, certes, mais teinté d’une légère touche de mépris supplémentaire. Après les salutations d’usage et la réponse de l’intéresser, il était temps de passer outre les convenances et entamer le vif du sujet. Aurélia se planta droit devant son camarade, nullement impressionnée par le fait que celui-ci était beaucoup plus grand qu’elle.

« Ecoute, Erandor, je ne vais pas te mentir, cette nouvelle année a jeté une nouvelle donne, mais rien ne change, au fond. Tu sais déjà que je veux savoir ce que tu manigances, ce que tu nous caches à tous. Pendant l’été, j’ai… continué les recherches que j’avais entreprises l’année dernière. Et je dois t’avouer que j’ai trouvé quelques éléments qui me mettent sur la bonne piste. »

Elle se tut, observant la réaction de son vis-à-vis. Elle bluffait entièrement. Quoi que cachait Erandor, c’était soit dangereux, soit illégal. Et elle se devait de découvrir son secret pour rétablir la vérité. Non pas divulguer ces informations à tout le monde mais au moins avoir une idée, elle, de ce qu’il recelait au fond de lui. Et si ce qu’elle découvrait s’avérait être trop personnel ou compromettant mais sans risque, elle s’était déjà fait la promesse à elle-même d’oublier ce qu’elle aurait appris. Elle ne disposait à présent d’aucun renseignement mais si le Dionysos croyait qu’elle avait déjà sa petite banque de données, il se confierait plus facilement à elle ou poserait moins de barrières entre la curiosité devenue malsaine d’Aurélia et sa propre intimité. C’était un véritable défi que l’Hestia s’était lancé à elle-même pour l’année à venir, défi qu’elle avait bien l’intention de réussir.
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Message Posté Dim 13 Mai - 20:36.
Le retour à l'institut faisait le plus grand bien à mes camarades, je le sentais et il était vrai que ça me faisait aussi du bien. J'avais décidé qu'il était bien de venir à la pré-rentrée comme chaque année, car c'était toujours bien de pouvoir marquer le territoire quelques semaines en avance. Je dis territoire, mais en fait, c'est pas trop ça quoi ... Je n'ai aucun droit sur beauxbatons, je veux juste dire que sincèrement ça fait du bien de revenir dans cette endroit où on se sent bien, et ou on se sent moins mal à l'aise. Il est vrai que j'ai su me forger une popularité ici, et que même si je suis bien chez ma grand-mère, je m'y sentais mal, très mal, car je n'en peux plus de voir que par la faute de mes défunts parents que je haie ... Elle doit m'assumer mon frère et moi alors qu'elle n'a plus de mari, plus trop d'argent à cause de lui d'ailleurs, car malgré qu'il fut un homme adorable et aimant, les jeux moldus lui ont fait tournés la tête. Bon, heureusement, j'ai travaillais pendant ces vacances dans l'espoir de pouvoir nous acheter un appartement, mais je vais encore devoir bosser ... C'est pas encore ça. Enfin, n'épiloguons pas ... Je suis heureux d’être de nouveau ici ... La guerre est finie alors Beauxbatons est de nouveau calme, et ça fait réellement du bien ... Après avoir passé huit ans ici, malgré quelques mauvais souvenirs, je m'y sentais comme chez moi alors pouvoir me retrouver à nouveau ici, et me dire que j'entamais ma dernière pré-rentrée, ma dernière année me faisait chaud au cœur. Je me réinstallais dès à présent dans ma chambre ... enfin j'avais eu la fabuleuse surprise de recevoir mon badge de Préfet durant l'été, et aussi d'apprendre que j'avais donc une chambre pour moi seul, donc c'était une installation ... Je ne retrouverais pas Artémis à mon grand damne, mais d'un coté, une chambre pour moi seul c'était plutôt cool ...

Je m'étais donc bien installé. J'étais content, et je reprenais avec une joie immense une année. J'espérais déjà qu'elle serait bonne, sans nuage, et que je pourrais encore une fois faire mes preuves du mieux possible. Je ne savais pas trop a quoi m'attendre en fait cette année, rare était les années où il ne se passait rien de spéciale, parfois c'était grave comme l'année passée, parfois c'était minime, c'était plus souvent que les événements étaient minimes, mais bon, après le malheur, je ne pouvais qu’être apeuré, mais je comptais bien garder mes peurs pour moi.

Jetant un coup d’œil autour de moi, j'observais des élèves passer, nouveaux pour la plupart? Les jardins étaient ensoleillés, les fleurs étaient d'une beauté incroyable, les feuillages des arbres resplendissaient encore, et dès mon arrivée, avec mes amis, nous étions venus nous y poser entre deux grandes occupations. Le soleil tapait, et j'aimais le sentir sur ma peau. Malheureusement, je pensais qu'il était l'heure pour moi de rentrer pour m'instruire un peu. Je me levais donc, et je partais à toute jambe vers l'entrée du grand bâtiment principal. Je marchais fièrement comme à mon habitude, arborant fièrement mon badge de préfet des Hypnos. Je montais les escaliers, traversant de nombreux couloirs. Oui, nous avions une grande institut, et rien que pour se rendre en cours, nous devions parfois aller super loin. C'était pas spécialement chiant, car cette académie était très belle, et puis, ça nous laissait de temps de nous pavaner dans les couloirs, et ça c'était mon truc ... Faire genre, je suis génial, cool, j'ai peur de rien, pour cacher ce mec, cet abruti que je haie, mais que je crois assez fort pour me dominer parfois ... Ouais, c'est mon malheur ... Ce mec que je peux être, bien trop gentil, bien trop doux ... Mon frère est encore innocent alors c'est bien qu'il reste comme tel, mais je ne peux pas reprendre cette personnalité que j'avais plus jeune, qui plaisait mais qui m'a valu tant de malheur. Alors que je marche, je me retrouve soudain nez à nez avec la seule personne que je n'aimerais jamais croiser. Aurélia D. Courtelier. Je ne la supportais pas. Pourquoi ? Parce que je savais qu'avec son coté manipulatrice, elle pouvait m'atteindre alors je ne pouvais pas le permettre. De toute les manières, je ne pouvais pas l'encadrer rien qu'à son caractère de sainte nitouche. Je l'avais prise en grippe dès que j'avais découvert son caractère. Pour moi, elle représentait tous ce que je ne supportais gère chez une fille. Je lui vouais presque une haine sans merci, et si elle me cherchait, elle me trouvait toujours ... On se disputait tous le temps, et je savais maintenant que j'arrivais à l'énerver, car j'avais pris le contre pieds.

Me regardant de ces deux yeux emplis de fougue, je la défiais du regard. Je n'aimais pas spécialement m'en prendre aux filles, je n'aimais pas spécialement les rabaisser, mais j'avais toujours dit que tant que je ne les frappais pas, je n'avais aucun tord, et surtout, fallait bien se défendre ... Du tac au tac, elle me salua du sa petite voix de sale manipulatrice, et me lança directe un petit pic. Oui, d'après elle, il était étonnant que je viennes à la pré rentrée, elle insinuait que j'étais un faignant ou je rêve ? Je comptais bien lui fermer son caquet à cette pimbêche. Je la regardais avec tout autant de mépris, puis avec une lueur de charme dans les yeux, je répondais :

- Bonjour Aurélia ... J'aime quand tu reconnais ma supériorité ... C'est vrai que je n'ai pas besoin de venir en pré-rentrée moi ... j'aurais largement du rester en vacances, mais vois-tu ...

Je montrais du regard le badge qui était accroché à mes vêtements, et montrait que j'étais préfet.

- j'ai un statut de préfet à entretenir moi ... et puis, il faut bien venir aider les gens ... comme toi ma belle, même si vous êtes très très peu à avoir autant de retard ...

J'avoue que j'étais un peu gamin, mais je m'en fichais, et je savais très bien que dans sa tête, ça faisait quand même un tout petit peu mal, et ça, j'aimais ... Elle ne m'avait presque pas écouté, j'avais l'impression, car dès que j'eus fini, elle parlait à nouveau. En effet, la jeune femme voulait toujours me percer à jour, et me disait qu'elle avait cherché des choses sur moi ... Je commençais à croire qu'elle voulait que je lui ouvre mon lit, ça devenait bizarre tous ça ... Bien que j'étais inquiet, énervé voir irrité qu'elle soit autant sur mon dos, ça me flattait tant d’intérêt ! Je comptais pas la laisser trouver quoi que ce soit, et si elle voulait la guerre, elle allait l'avoir, et toutes ces années de chamaillerie ne valait rien à coté de ce que j'étais capable ... Demandez à mon père ... Ah non c'est vrai, il n'est plus de ce monde. Non en fait, j'ai l'esprit embrumé, faut vraiment que j’arrête, je n'irais pas jusqu'à la tuer, enfin sauf si elle arrives malencontreusement à tout découvrir et qu'elle ne garde pas le silence, là peut-être qu'il y aurait une possibilité que soit je lui fasse du chantage soit que malencontreusement, elle tombe dans les escaliers ... Enfin bon, je me servirais d'abord mon don pour tout savoir, et essayer de tout changer. Je la regardais, un sourire en coin, impassible, ne montrant en aucun mon trouble.

- Je vois que tu ne peux plus t’arrêter de penser à moi, chérie ...

J'eus soudain un petit sursaut qui s'élevait en moi, un flot de panique en imaginant qu'elle ne bluffait pas lorsqu'elle disait qu'elle avait trouvé des choses, mais qu'avait-elle trouvé ? Je n'en savais rien, et maintenant que je m'y penchais sans faire le maitre du monde, je m’inquiétais mais encore une fois, je devais rester maitre de moi-même. Je m'approchais d'elle, doucement. J'étais à présent plus proche que jamais de la jeune Aurélia, et je posais ma main sur sa joue, je murmurais à son oreille;

- Alors comme ça on sait des choses sur moi ... hmmm que pourrais-tu savoir ? Que j'ai couché avec la moitié de l'institut ? Dis-moi, je n'ai rien à cacher ma belle ...

Coucher avec toutes les filles de l'institut ? J'avais du fumer la moquette avant de venir, non mais franchement, ... Je ne voulais pas me faire avoir, et je devais bien la tester, quitte à passer pour un vantard encore plus que d'habitude. Je caressais sa joue avant de reculer. Je restais toujours sur de moi, mais ça, c'était en apparence ...
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