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Dans un monde où le plus beau reste à faire ◄ Alexia & Tristan
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Message Posté Sam 27 Juil - 1:22.
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Dans un monde où le plus beau reste à faire
Quand le marbre te renvoit à tes propres rêves.


★ noms des participants: M. Alexia Barangèle & Tristan C. Chevalier.
★ statut du sujet: Privé.
★ date: Milieu de mois.
★ heure: Aux alentours de midi.
★ météo: Il a arrêté de neiger. La température est glaciale.
★ saison: Saison 2.
★ numéro et titre de l'intrigue globale en cours: épisode 5 - Season finale
★ numéro et titre de l'intrigue en cours:   2x05 - Disette Magique
★ intervention de dominus:   Oui, pourquoi pas ? :)
★ récompenses:  // 


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Message Posté Sam 27 Juil - 1:33.





Dans un monde où le plus beau reste à faire
Alexia & Tristan

Comme un fou va jeter à la mer des bouteilles vides et puis espère qu'on pourra lire à travers SOS écrit avec de l'air. Pour te dire que je me sens seul, je dessine à l'encre vide un désert. Et je cours, je me raccroche, je me soûle avec le bruit des corps qui m'entourent comme des lianes nouées de tresses, sans comprendre la détresse des mots que j'envoie. Difficile d'appeler au secours quand tant de drames nous oppressent et les larmes nouées de stress étouffent un peu plus les cris d'amour de ceux qui sont dans la faiblesse et dans un dernier espoir disparaissent. Et je cours, je me raccroche à la vie, je me soûle avec le bruit des corps qui m'entourent comme des lianes nouées de tresses, sans comprendre la détresse des mots que j'envoie. Tous les cris les SOS partent dans les airs, dans l'eau laissent une trace dont les écumes font la beauté. Pris dans leur vaisseau de verre, les messages luttent mais les vagues les ramènent en pierres d'étoiles sur les rochers. Et j'ai ramassé les bouts de verre, j'ai recollé tous les morceaux, tout était clair comme de l'eau. Contre le passé y a rien à faire, faudrait changer les héros dans un monde où le plus beau reste à faire. Et je cours, je me raccroche à la vie, je me soûle avec le bruit, des corps qui m'entourent comme des lianes nouées de tresses sans comprendre la détresse des mots que j'envoie. Tous les cris les SOS partent dans les airs, dans l'eau laissent une trace dont les écumes font la beauté. Pris dans leur vaisseau de verre, les messages luttent mais les vagues les ramènent, en pierres d'étoiles sur les rochers. Tous les cris les SOS partent dans les airs, dans l'eau laissent une trace dont les écumes font la beauté. Pris dans leur vaisseau de verre, les messages luttent mais les vagues les ramènent en pierres d'étoiles sur les rochers.

L'enfant se tenait en haut de cet escalier, sur lequel on pouvait apercevoir des tâches de sang. Et il écoutait les cris de sa mère, la voix vociférante de son père. Et il entendait les objets voler en tout sens et s'écraser lourdement contre des murs. De temps à autre, il apercevait un éclair lumineux. Son père utilisait sa baguette contre sa mère, qui hurlait de douleur. Et lui, il se tenait là, spectateur invisible de ce théâtre masqué. Et il entendait les cris de détresse de sa mère, les SOS qu'on lui lançait, mais il ne pouvait pas agir. Il en serait bien incapable. Il déglutit et retourna dans sa chambre, comme tous les jours, comme à chaque fois qu'une engueulade éclatait. Sa chambre était devenue son refuge, son havre de paix, le lieu où il pouvait lancer des bouteilles emplies de SOS. Mais personne ne les voyait. Il ne pouvait rien jeter par les fenêtres, ses parents s'en rendraient compte et il deviendrait alors bien vite la cible de nouveaux traitements honteux. Les voisins, quant à eux, avaient été dissuadés de revenir frapper à la porte. Et quand bien même les policiers venaient, son père les renvoyait aussitôt, à coup de baguette magique. Alors, l'enfant hurlait intérieurement, se demandant quand la délivrance arriverait. Malgré tout, il ne pouvait s'empêcher d'aimer ses bourreaux, qui le blessaient lorsque l'occasion s'en présentait.

Je me tenais en haut d'un des nombreux escaliers de l'Académie et j'observais l'étage du dessous. Un afflux de souvenirs douloureux, des larmes qui perlèrent au coin de mes yeux. J'ai mal. Encore une fois. Je pensais avoir relégué cette page de mon histoire aux oubliettes ; à croire que j'avais mal fermé la porte et que mes démons en profitaient pour me narguer dans des moments de vulnérabilité insoupçonnée. Fichtre, ne méritais-je pas un peu la paix ? Ça guette, ça traque et ça attaque. De sournois souvenirs. Et je descendis ces escaliers. Maman et papa ne m'attendaient pas en bas, et quand bien même ils auraient été là, pour s'excuser par exemple – ne puis-je pas rêver un peu ? - ils n'auraient eu que leurs deux yeux pour pleurer. Ils n'auraient pas reconnu leur fils chéri. Je les aurais étreints comme ils le faisaient durant mon enfance. Ces étreintes douloureuses... Et je descendis les escaliers, lentement, sûrement. Et s'ils surgissaient à tout hasard, de derrière une décoration ? Je m'en serais voulu de ne pas avoir été vigilant. Je ne voulais pas les exposer ainsi ; je ne voulais pas non plus m'exposer de la sorte. L'amusement était quelque chose de personnel, que je réservais à de longues heures d'ennui. Sans que je ne m'en rende compte, j'étais arrivé en bas de ces marches qui s'étaient succédées les unes aux autres. Sauf. J'étais sauf. Rien n'était apparu, rien ne m'avait blessé d'une quelconque manière. Je pouvais rester serein. Y arriverais-je ?

Et je cours, je me raccroche à la vie, je me soûle avec le bruit, des corps qui m'entourent comme des lianes nouées de tresses, sans comprendre la détresse des mots que j'envoie. Et j'observais le flot des élèves qui sortaient des salles de cours pour se rendre à leur prochaine destination. En temps normal, je supportais bien la foule ; mais là, elle m'étouffait, elle m'oppressait. Je n'arrivais plus à y voir clair. Ma vision se brouillait, mon cœur battait à mes tempes et mes doigts commençaient à s'engourdir. Comme au bon vieux temps. Une envie. Irrépressible, imprévisible. Impossible à contenir. A moins que je ne m'échappe. Que je cours au loin, plus loin, toujours plus loin. Que je me vide la tête, que je m'en aille. Que je m'en aille. Que j'abandonne tout, que je plaque tout. Les racines, ici, elles n'ont jamais été véritables. Des racines fabriquées au fil du temps, un monde que l'on apprend à dompter. Mes vraies racines sont dans cette maison niçoise, dans ces calanques, sous ces coups. Ici, tout n'avait été que fables, que des contes qu'on embellissait au gré de nos envies.

Je me détournais de toute cette mascarade, de cette réalité faussée et me mis à marcher au plus vite vers la sortie la plus proche. Le monde tournait autour de moi, dedans ma tête. Sortir. Sortir. Sortir. Mes pieds accélérèrent le rythme que je leur avais imposé. Mon corps bousculait de lui-même des dizaines d'autres corps et mes lèvres grognèrent des pardons incompréhensibles. Et je me cognais contre les murs, contre les statues. Je n'étais plus maître de moi-même. Je souffrais. Pas de cette enfance misérable, j'avais appris à faire avec. Mais ces mauvais souvenirs, compilé à mon passé de meurtrier et à une foule grandissante, ça me rendait dingue, fou. J'en perdais tout. Tout. Ma raison d'être ne se résumait qu'à une petite lame, qu'à quelques larmes, qu'à quelques mains. Celles qui vous font tomber ou celles qui font aide à vous relever. Et je débouchais dehors. L'air frais hivernal m'assaillit. Je me rendis soudainement compte que ma respiration avait été hachurée, trop rapide. L'air glacial brûla mes narines et mes poumons, mais me fit du bien. Un filet de fumée sortit par ma bouche et mes narines. Je restais de longues minutes à tenter de reprendre contenance. C'était difficile.

Fichue nuit comblée de cauchemars. Elle perdurait malgré mon réveil. Je n'allais pas faire empirer mon cas. Je n'allais pas éclater devant ces gens qui ne m'avaient rien fait. J'allais aller me calmer tout seul, dans mon domaine. Mon domaine. Mais je n'avais aucune envie de m'occuper des chevaux. Pas maintenant. Plus tard peut-être, pas maintenant. Alors, sans savoir pourquoi, je me dirigeais vers les jardins, vers le cimetière blanc. Le réconfort. Le silence. Tout à portée de main.

© Fiche de Hollow Bastion sur Bazzart


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Message Posté Lun 29 Juil - 15:42.


Dans un monde où le plus beau reste à faire
Mais l'homme est-il capable du plus beau ?
 





Allongée toute habillée sur mon lit, les bras en croix et les jambes relâchées, je fixais le plafond depuis une bonne demi-heure déjà.

J'ai fini les cours très tôt, aujourd'hui ; seulement une heure après le déjeuner. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, c'est parfaitement normal, pour moi. Au total, trente-cinq heures sont allouées aux cours, mais n'ayant que deux options, j'en totalise seulement vingt-deux. Par le fait, mon emploi de temps est assez léger. C'était soit ça soit avoir un emploi du temps plein à craquer parce que je prenais toutes les options, alors bon, autant me faire traiter de flemmarde.
Ce n'est cependant pas du tout par fainéantise que j'ai choisis le minimum. En réalité, c'est pour pouvoir continuer de passer du temps dans les écuries et avec Altesse. A mon entrée en troisième cycle, cela a également eu l'avantage de me permettre de jouer au mieux mon rôle de préfète puisque je me trouve libre chaque fois que d'autres élèves peuvent l'être. Et puis chacune de mes option a un objectif bien particulier : le soin aux créatures magiques par passion et la magie médicale par volonté d'orientation professionnelle.

Altesse miaule depuis plusieurs minutes pour que je lui accorde mon attention et je me surprends moi-même à préférer rester complètement immobile. J'aime la dorloter, pourtant ! La savoir bien peignée, en pleine forme... Et à vrai dire, elle en a pris l'habitude. Cette minette porte bien son nom, il n'y a pas à dire. En même temps, c'est sa fière allure qui m'a amenée à le lui donner.
Exaspérée, elle saute sur le lit et me marche sur le ventre en continuant de s'égosiller. Pauvre chat. Mais cette pensée ne m'empêche pas de ne pas faire un mouvement de plus. Je ne me sens même pas la force que lever un bras pour lui donner quelques caresses.

Pourquoi ? Pourquoi est-ce que d'un coup je n'ai plus la moindre énergie ? Pourquoi est-ce que je rechignerais à bouger si on venait me demander un service ? Pourquoi je n'ai pas plus envie d'aller aux écuries que d'entendre ronronner Altesse ? Pourquoi est-ce que je ne file pas au Clos du Lys rejoindre Crystal ? Pourquoi est-ce que je me pose ces questions ? Pourquoi je ne leur trouve aucune réponse ? Pourquoi est-ce que je continue alors que je tourne en rond ?

Mon chat passe au niveau supérieur : elle s'est assise à côté de ma tête et caresse ma joue avec sa patte. J'ai envie d'en rire, mais mes lèvres ne bougent pas et je ne m'entends pas émettre un son. Elle insiste encore quelques minutes et abandonne après un dernier coup de patte ostensiblement destiné à me réprimander et quelques plantages de griffes en me marchant sur le ventre, elle va se coucher sur son joli coussin de velours rouge, l'air boudeur.
Je reste encore étendue, les yeux dans le vague, ne me sentant toujours pas capable d'autre chose. Dans le silence, je ferme les yeux. Dans le couloir, deux préfets passent. "Tu en as parlé à Marilyn ?" dit l'un. Furieuse, je me redresse avant de me rappeler qu'ils peuvent très bien parler de n'importe qui. De toute manière, tout le monde a oublié que mon prénom à l'état civil, c'est celui-là. Personne n'a osé le prononcer devant moi depuis un moment. ... Depuis que j'ai utilisé la magie contre une personne qui m'avait interpeller de la sorte. La punition a été légère, comme je suis toujours entrée dans la catégorie "ange parfaite" et que tout le monde avait bien compris qu'il était arrivé quelque chose de grave - du moins de mon point de vue.

Maintenant que je suis debout, il faut bien que je fasse quelque chose. Je m'avance vers le coussin d'Altesse, mais elle me lance un regard courroucé et me souffle dessus. Je ne tente pas de m'excuser auprès d'elle, préférant la laisser terminer sa crise de nerf.
Mes devoirs sont faits, alors il va bien falloir que je trouve quelque chose à faire. Dehors, évidemment, si je reste ici, je vais me rendre folle moi-même. Je pourrais me changer et me rendre aux écuries... Ouais, je pourrais mais ça n'a pas le même attrait que d'habitude et je préfère prendre ma cape, conservant mon adorable petite robe bleue. Dans la gamelle d'Altesse, je laisse quelques friandises et je passe la porte.

Je quitte le dortoir et me lance à travers le parc. Je ne sais pas trop commet je me retrouve dans le cimetière blanc. Couvert de neige, bien qu'elle ne tombe plus, l'endroit colle très bien à son nom. Les seules fleurs que l'on peut voir, en se sombre mois de janvier, sont des edelweiss et des perce-neige. Toutes deux d'adorables petites fleures.
Je m'accroupie près d'un parterre. De loin, j'entends la sonnerie retentir. Il ne reste plus qu'une heure à mes camarades et je leur souhaite bien du courage. La fin est toujours le plus pénible, qu'ils disent. Moi, je n'en sais rien, puisque je ne le subis pas.
Le vent joue avec mes cheveux lâchés... dont il va falloir que je refasse la teinture rouge. Mon chapeau empêche de le voir, mais en racine, leur couleur brune-rousse réapparaît et je ne le supporterais pas longtemps. Cette couleur, c'est celle de Marilyn, pas la mienne.

Du côté de l'entrée, j'entends des pas précipités. Je relève la tête, stupéfaite, ne m'attendant pas à avoir de la compagnie à cette heure ici, les jardins étant généralement privilégiés quand le temps était clair. Quand je vois qui est cette personne, j'écarquille les yeux et me redresse. C'est quelqu'un que je connais, bien sûr, que je vois même plus souvent qu'un professeur, mais pas... Ici.

« Tristan ? » Je demande à voix haute.

« Qu'est-ce que tu fais là ? » Je complète, la surprise passée.

Cette question est stupide, la seule chose qu'il puisse faire, c'est être venu chercher la même chose que moi : l'air, le silence et la solitude. Je ricane me moquant de moi-même. Je suis vraiment d'une grande idiotie, quand je m'y mets. Bien, je n'ai plus qu'à...

« Excuse-moi... » J'enchaîne d'une voix douce, sans lui avoir laissé le temps d'en placer une. « Si... Si tu veux rester seul, je... Je peux partir. »

.pinklemon
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Message Posté Sam 31 Aoû - 19:29.
J'entendais dans ma tête, tout ce tulmute incessant, une cacophonie de cris, de pleurs et de miaulements. Vestiges de mon enfance. Vestiges d'un passé mis de côté. Assis sur ce banc, je repensais à tout ce que j'avais pu accomplir. A ces sourires de confiance que l'on m'avait adressé et qui s'étaient petit à petit mués en des expression d'effroi, de terreur. Ce que j'avais ressenri durant mon enfance. Je leur avais fait confiance, peut-être trop. Mon visage et le reste de mon corps se souviennent encore. Je sens encore les brûlures sur ma peau, les minces entailles sur mes bras et mes jambes et qui me faisaient un mal de chien, les minces filets de sang qui coulaient le long de mon visage. Et je ne pouvais rien faire, hormis encaisser et me taire.
Et m'enfuir.
Manquer à mes devoirs. D'écuyer, d'époux. Juste une fois, juste un instant. M'éloigner de tout. Refaire le vide. Repenser mes priorités. Régler ma vie comme du papier à musique. Ne pas m'écarter des partitions. Se permettre des fioritures ne devait plus être. Mener une vie acétique et spartiate. Se lever avec un seul but, vivre avec un seul but, se coucher avec un seul but. Etre quelqu'un d'autre.
Mais déjà dans ma tête, ça résonnait. Écarteler. Écorcher. Dépecer. Immoler. Arracher. Percer. Transpercer. Pendre. Fouetter. Noyer. Frapper. Cogner. Couper. Découper. Déshydrater. Laisser mourir de faim. Donner des coups de pied. Tuer. Mourir. Mourir.
Je sentais une sueur froide s'emparer de mon cou, un tremblement certain s'emparer de mon corps, ma tête prise de ce bourdonnement sourd et incessant. Le vertige me guettait. Je dansais au bord du gouffre; j'allais un jour tomber, pour sûr. Je n'aimais pas la monotonie des choses. La dangerosité, c'était bien plus excitant.
Et j'entendis une voix. Elle est loitaine cette voix. Ce n'est pas celle de ma femme. De toute façon, elle n'aurait pas prie la peine de m'appeler par mon prénom. Elle m'aurait sortit toute la ribambelle de surnoms que l'on use entre nous ou bie. Elle n'aurait rien dit du tout et se serait contentée de m'approcher et de m'encercler de ses bras bienfaiteurs. Je hurle intérieurement. J'ignore cette voix. De toute façon, elle ne pourra pas m'aider. Je suis bien trop fini pour qu'on me vienne en aide. Laisez-moi seul !
Tristan ? Qu'est-ce que tu fais là ? Je lève vers la personne mon visage rougi par les émotions multiples qui faisaient rage en moi. Je sentais que mes yeux brûlants devaient être étranges. J'espérais juste qu'ils ne parlent pas de mes activités annexes. Personne n'a besoin de savoir. Personne. Et je ne voulais pas perdre des amitiés bien trop précieuses à cause de ça. Je dévisage Alexia. Une jeune élève que je voyais souvent aux écuries. Pas un sourire traverse mon visage. J'essaie mais je n'y arrive pas. C'est bien trop difficile. J'aimerai lui répondre mais dès que j'ouvre la bouche, un grognement rauque s'en échappe. Bon sang ! Faites que tout se calme, là, maintenant. Je sens mon coeur tambouriner dans ma poitrine. Ca fait mal. J'étouffe un cri de douleur. Je lève les yeux au ciel, priant je ne sais quel dieu de me venir en aide. Je me frotte les yeux. Et Alexia reparla.
« Non, reste... C'est moi, l'intrus, ici... Je ne suis pas sensé être là. » »
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