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Some days I feel broke inside but I won't admit | ZEPPELIN&ERANDOR [PM]
ϟ you belong to the world, and when it screams your name back, don't pretend you don't hear it.
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Message Posté Mar 15 Mai - 18:07.


i wanna live like music, rolling down the streets.
hey looking at you i wanna take you to the back of the room..

★ noms des participants: K. Zeppelin Gordon-Baylee & Erandor H. Volkov-Black
★ statut du sujet: Privé.
★ date: Fin Aout 2056
★ heure: 9hoo
★ météo: Il fait beau. Soleil du matin.
★ saison: Saison 2
★ numéro et titre de l'intrigue globale en cours: Justice doit être rendue.
★ numéro et titre de l'intrigue en cours: Prélude.
★ intervention de dominus: Non.
★ récompenses: Ce sujet a-t-il été cité au marathon ? A-t-il gagné un golden globe ?



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Message Posté Mar 15 Mai - 19:08.
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Alors que les premiers rayons du soleil viennent percer la barrière de mes paupières, je me mets à bailler. J'ouvre mes yeux qui peuvent à présent percevoir d'avantage la pureté de la lumière du soleil. Un réveil agréable. Je suis de retour à l’académie depuis déjà quelque jour, et je me réjouie chaque matin de ces réveils si beau. Je n'ai plus à me préoccuper d'une potentiel personne que je pourrais réveiller, je peux voir dès le petit matin la soleil traverser la vite de ma grande chambre personnelle, le rêve ... Je me lève doucement, m'étirant dans mon lit de tout mon long. Je suis assis sur mon lit, et je tente d'émerger de mon sommeil profond, car même si le soleil a foncé sur mes pupilles, j'ai du mal ... Je me lève de plein pieds, bien décidé à ne pas me la jouer larve, et je vais à la fenêtre. c'est une petite fenêtre, juste histoire de pouvoir avoir un semblant de paysage à regarder, et de la lumière, mais rien de magnifique. Je l'ouvre pour laisser rentrer la légère brise de fraicheur. Je m'étire une nouvelle fois. Ce matin, je sens ma tête vide de pensées, et bizarrement, j'aime ces matins là où je me sens libéré de toutes sortes de pensées ou d'une possibilité d'avoir une vision surprise ...

Je pars à la douche. Lorsque j'en sors, je me précipite vers mes affaires, sortant une chemise assez simple, blanche, je la laisse légèrement entre-ouverte ... J'enfile mon pantalon, mes chaussures, puis je vais me voir devant la glace. Je me regarde, passe ma main dans mes cheveux pour être sur que ma coiffure n'est pas trop négligée. Je ne prends rien, n'ayant pas l'envie première de travailler en cette radieuse matinée. Je descend donc pour déjeuner. Les élèves venus à la pré-rentrée sont nombreux cette année. Grand étonnement depuis quelques jours lorsque j'en croise certain que je n'aurais jamais pensé voir en avance. Je m'avance dans la salle à manger, et rejoins quelques amis, un petit groupe. Je salue chacun d'entre eux. Une chose me titille. J'aimerais voir Zeppelin. Mais je ne la voie aucunement. Nous devions nous rejoindre après à la bibliothèque, mais j'imaginais quand même la croiser au petit déjeuner. Je la guette. Mon regard sillonne toute la salle, chaque table, chaque personne, mais aucune blonde élancée ne se montre. Je mange donc très vite, imaginant qu'elle se trouve déjà à la bibliothèque entrain de lire ou de réviser pour avoir de l'avance sur l'année qui va débuter.


Tandis que je lance à mes camarades que l'on se verra surement plus tard, je me lève. Je sors ensuite de la salle à manger à tout hâte en direction de la bibliothèque. Zep' sera déçu, je n'ai rien pris pour travailler, mais je compte bien la sortir un peu des bouquins pour aller dehors profiter du beau temps, - nous ne sommes jamais à l’abri de la pluie de nos jours - . Je croise quelques élèves, certains me regardent avec une lueur de mépris dans le regard, d'autres avec une certaine crainte, d'autres avec simplicité. J'aime observer chacun de ces regards, ce que je préfère, c'est quand ils me craignent car je sais que jamais ils ne chercheront à me chercher des poisses et que je n'aurais aucun risque d’être vulnérable devant eux. Je marche toujours l'air fier. Je sors du premier bâtiment, et fonce vers le trèfle rouge. J'avance dans le long couloir, puis pénètre dans le lieu où mille et une œuvre littéraire, emplis de connaissances pour certaine, se trouvent. Il n y a que très peu de gens, mais je n'en suis que peu étonné. Ils viennent à la pré-rentrée pour les premiers cours, non pour aller seul à la bibliothèque, mais nous, nous ne faisons rien comme tous le monde. Pas de Zeppelin. J'avance vers le fond, je cherche dans chaque rayon, je scrute chaque recoin de la bibliothèque, mais aucun demoiselle aux cheveux d'or ne parcourent les allées de la bibliothèque. Je reste cloué dans un coin. Je reste pensif, me demandant où je pourrais la trouver. Je suis seul dans l'allée. Je la parcoure de long en large. Je marche, et remarche comme si cela allait servir à ce que je trouve où elle pourrait se cacher. Et soudain, révélation. Quel jour étions-nous hier ? Je cours vers la bibliothèque demandant un calendrier, je lui arrache presque, et regarde si ma pensée est bonne ... La pleine lune. Je reste la bouche ouverte devant le bureau de la bibliothécaire pendant au moins deux minutes avant de réagir et de me mettre à courir tandis que j'entends la voix de la bibliothécaire surement inquiète de mon état, m'interpeller. Je cours à toute vitesse. Je cours. Non parce que je suis pressée, mais parce que j'ai peur que ma théorie soit bonne, et surtout parce que si elle est bonne, j'en ai marre ...

J'ai découvert que Zeppelin était un loup-garou, il y a deux mois. Je sentais qu'elle me cachait quelque chose. Je ne savais pas quoi. Elle était mon ami depuis son arrivée, bien que différent, elle avait su m’attirer vers elle, me donnant envie de la connaitre, malgré mon air de fier garçon populaire, et nous avions tout de suite eu le feeling malgré une compatibilité qu'on aurait cru au niveau zéro. Je sentais surement à l'époque qu'elle avait un coté torturé que j'avais, mais que je cachais, et je me suis senti proche d'elle, mais je promet que j'ai quand même eu du mal à aller vers elle avec mon coté "je me la joue grand méchant loup". Enfin bref, j'ai découvert cela en me servant à son insu de mes pouvoirs de médium sur elle. Ma grand-mère m'a appris, dès que j'ai découvert par moi-même ce don, à le maitriser, ou disons plus à m'en servir, car surement à cause des démons de mon passé, je n'ai jamais réussi à complètement les empêcher. Néanmoins, j'arrivais à en produire en touchant quelqu'un, c'était déjà cela. Je pensais donc que la cause de l'absence de mon amie, de la jolie Zeppelin était la pleine lune, et là, j'en avais marre qu'elle ne me le dise pas, qu'elle me le cache, car étrangement, je l'avoue même si moi, je me confiais pas, je me sentais comme le besoin de tout savoir d'elle, d’être là pour elle, de tout connaitre d'elle, de tout partager avec elle ... Pourtant ce n'était pas moi.

J'étais comme fou. Je courais en direction des bois, traversant les jardins, regardant autour de moi, imaginant la trouver dans des coins de jardin, reculé, mais rien. J'arrivais ensuite à l'orée des bois. Je me décidais à y pénétrer. Je m'enfonçais un peu dans les bois, et soudain, je vis assise à terre contre un arbre, le regards vide de toutes lueurs ... La belle Zeppelin aux cheveux d'or. Son sourire n'était point de sortie. Quelques égratignures peuplées sa peau blanche, et je n'arrivais aucunement à attirer son regard qui restait vide de tous sens. La belle ingénue tenait une cigarette. Elle tira. La fumée s'envola. La cigarette se consuma un peu plus. Je me rapprochais, et je me baissais à son niveau. Elle n'allait pas bien. Je me serais écouter comme habituellement, je me serais énervée, car je me doutais de ce qui la rendait comme cela, mais j'optais pour le mode 'je ne sais rien'. Je caressais son visage. Tout mon corps fut alors saisis d'un petit tremblement. J'avais eu plusieurs fois cette sensation étrange et je n'arrivais pas trop à la comprendre, enfin, je pense que d'une certaine manière, je ne veux pas la comprendre. Je plongeais mon regard dans le sien, qui restait toujours dénué de vie, et j'osais enfin parler ;

« Zep' qu'est-ce qu'il t'arrive ? Parle-moi ... »

Je m'étonnais toujours de cette force incroyable à montrer d'une certaine façon le vrai Erandor lorsque j'étais avec elle. Certes, je pouvais l’être quelques fois avec mon frère, évitant quand même de trop montrer mes sentiments, ou avec Ariel, car elle, elle me connaissait trop bien, mais avec Zeppelin, c'était une réelle amitié, car dès que j'étais avec elle, j'étais comme forcé d’être le bon Erandor ... Elle était comme un pierre précieuse qu'on me forçait à traiter comme la chose la plus belle du monde, une topaze, un rubis, un joyau en somme ... Oui, elle était la fleur qui faisait fleurir la beauté que je pouvais avoir en moi ...






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Message Posté Dim 20 Mai - 22:22.
Parfois, j’ai l’impression que je pourrais disparaître. Me fondre dans le décor. Transparente. Parfois, je me sens si faible, que je me dis que le vent pourrait m’emporter, loin. Loin d’ici, loin d’eux. Mais ce que je fuis, je ne peux pas y échapper. Ca coule dans mes veines. Ca brûle dans mon sang. Ca se consume dans mes poumons. Et ça fait trembler tout mon corps. Je suis morte. Presque morte. Ca me tue. Ca me tue.

Je peux toujours essayer. De courir, de fuir. Mais ça n’y fera rien. Ca restera toujours là. J’ai beau essayer de l’apaiser avec des potions. J’ai beau essayer de m’y faire. C’est toujours là, en moi. Gravé dans ma peau. Sous ce tatouage qui ne trompe personne. Je tourne en rond. Alors je cours. Je cours et je pleure. Et je tremble. Je suis crevée, exténuée. Mais je cours. Je continue. Je suis pâle, pâle comme la mort qui m’habite tous les soirs de pleine lune. Mais j’en ai plus rien à foutre. Plus rien. La science ou la foi. Marche ou crève. Une chance sur deux. Est-ce que la prochaine fois sera moins pénible ? Non. C’est toujours la même chose. Toujours la même douleur. Toujours les mêmes cris. Ces hurlements qui scindent la nuit. Des éclairs dans un ciel paisible. Une tentative de briser la lune qui guide nos vies. C’est un sentiment étrange, de se dire qu’on ne contrôle rien. Qu’on n’est jamais maître de soi. C’est un sentiment bizarre de se dire qu’une fois par mois, on devient quelqu’un d’autre et qu’on ne peut rien y changer.


Je m’arrête, à bout de souffle. Les mains dans les poches de mon sweat. J’essaie de reprendre ma respiration, mais c’est difficile. Je n’ai rien mangé depuis deux jours. Je tremble. Je pleure. Je ne contrôle plus rien, et pourtant c’est bien moi. Et tout se met à tourner. Jouer avec le feu. C’est comme ça que je vis. Que je survis. Je cherche les limites. Parfois je les trouve. Parfois je les dépasse. Parfois je les détruis sur mon passage. Je m’écroule contre un arbre. Je prends ma tête entre mes mains. Mes mains couvertes de griffures. Tout comme mes bras sont couverts d’hématomes. Mon corps entier est le témoin de ces transformations affreuses. Comme si la lune ne me le rappelait pas assez.
Une cigarette. Une cigarette pour se rassurer. Pour penser à autre chose. Je la porte à ma bouche. Je l’allume. Elle me réchauffe. Elle me rassure. J’ai toujours eu cette fascination pour le feu. Les flammes. Elles m’effraient, mais elles m’intriguent aussi. Elles paraissent si puissantes, mais il ne suffit que d’un souffle pour les effacer. Et quand le souffle est trop fort, il les renforce. Aucune limite. Comme moi. La fumée danse dans les airs. Je la regarde, admirative. J’aimerais être aussi que cette brume blanche. Ma main tremble. J’essuie le maquillage qui a coulé de mes yeux. Je ne sais pas comment font les autres, pour gérer. Pour accepter de perdre le contrôle. De se laisser dicter sa conduite par un astre. Mais moi, je n’y arrive plus.

« Zep' qu'est-ce qu'il t'arrive ? Parle-moi ... »

Je ne le regarde même pas. Je reconnais sa voix. Erandor. Vieil allié. Il croît me connaître, mais il ne sait rien de moi. Et c’est bien mieux comme ça. S’il savait qui j’étais réellement, il partirait en courant. Et comme je le comprends… Je ferai la même chose, si seulement je le pouvais. Mes yeux sont toujours plongés dans le vide. Saphirs presque transparents. Ils scrutent la fumée et son ombre. Ils scrutent les restes d’une nuit passée à chasser la mort pour rester en vie. Et finalement, mon visage se tourne vers le sien. Quelle excuse vais-je encore lui servir ? Est-ce que j’ai la force d’inventer un autre mensonge ? Ca serait plus facile de tout lui dire et de le regarder fuir. Mais je n’en ai pas envie. Je tiens trop à lui, à sa présence. Un sourire timide éclaire mon visage.

« Rien, c’est juste un coup de fatigue, j’ai mal dormi hier soir… »

Tout le monde ment. Les illusions, les mirages, personne n’est dupe. La vérité est parfois trop difficile à dire. Placer des mots sur une douleur, sur une souffrance, placer des mots sur une malédiction, c’est bien plus compliqué que de dire que tout va bien et que tout ira bien. Mais ma voix faiblarde ne trompe personne à part moi-même. Enrouée, tremblotante, c’est à peine si j’arrive à aligner deux mots. Ca me tue de lui mentir, mais c’est pour son bien. A moins que ça soit pour le mien.

« Tu devrais me laisser. J’ai besoin d’être un peu seule… »
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