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l'interlocuteur interloqué [PM] ABANDONNE.
ϟ you belong to the world, and when it screams your name back, don't pretend you don't hear it.
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Message Posté Jeu 27 Oct - 18:02.
l'interlocuteur interloqué




STATUT DU SUJET : privé.
NOM DES PARTICIPANTS : Eric Hemingway & Gaïa de Valmont.
DATE : Milieu du mois d'avril.
HEURE : Près de minuit, peut-être minuit passée de quelques minutes.
METEO : Nuit fraîche, sans nuages.
NUMERO ET TITRE DE L'INTRIGUE GLOBALE EN COURS : 007.
NUMERO ET TITRE DE L'INTRIGUE DU FORUM EN COURS : 008.
INTERVENTION DE DOMINUS TENEBRAE : On fera sans.

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Message Posté Jeu 27 Oct - 18:05.
      Tu es froissé. Du soir au matin, l’idée qu’on t’ait oublié d’obnubile avec suffisance.
      John et Gabriel continuent sur leurs lancées, Abel par contre, semble avoir mieux à faire. Tu y tiens à ces envois, à ces retours, ces lectures, ces écritures ; ton temps privilégié de la journée où les cours te passent par-dessus tête, où tu regardes de pied en cap toute ta semaine. Les détails, les décors, les paroles acerbes empreintes de mesquinerie enfantine, les paroles juste douces, les contacts que tu ne peux te résorber à t’interdire ; la vie finalement, dans toute sa splendeur, que tu adores dépeindre à tes frères, une lettre à la fois. Tu fais une montagne d’un rien. Tu n’as pas une nature de paranoïaque, à l’exception près de vos échanges fraternels. Abel n’a pas franchement la plus belle plume, ni la plus belle façon de t’encourager dans ta voie, mais il est ton frère. Ton frère, bon sens ! Ton frère ; tu l’aimes inconditionnellement, malgré tout, malgré Marie. Ne pas avoir de nouvelles n’est pas en soi dramatique, également. Tu tentes de t’y convaincre, comme un forcené, de te réduire à être la brebis qui ne sait rien, mais qui peut paitre en toute quiétude. Rien n’y fait. Et relire t’apportes plus de tristesse, d’amertume et de nostalgie que de réconfort. Tu as délaissé ces vieux papiers pour te tourner vers autre chose, pour aller marcher dans la nuit, comme un crétin. Tu sais l’Organisation présente dans tout BeauxBâtons. Mouches qui vous tournoient autour, ses membres doivent probablement faire leur ronde, un peu partout dans l’école. Peu t’en chaut, tu as besoin d’air, et de l’air frais !

      Tu sors de ton dortoir, en chaussettes et en t-shirt et boxer. Mêmement à tes sorties frugales, tu te fais extrêmement discret, ta baguette logée entre l’élastique de ton boxer et ta peau. Une fois la porte refermée derrière toi, tu cours, rapidement, soufflant avec rudesse, comme si tu venais de t’échapper d’Azkaban. Comme si. Tu souris à la comparaison. Ton cœur bat à tout rompre et tu t’élances vers tu-ne-sais-où, salissant le dessous de tes chaussettes dans l’humidité de la nuit. Tu t’arrêtes devant l’Orchidée et alors que tu entends les échos de pas engourdis dans l’herbe, tu t’introduis dans la bâtisse sans attendre davantage.

      À tâtons, vers la gauche, puis contre la droite, une ouverture se libère, te laissant tomber de tout ton long dans une pièce méconnue. Tu lèves les yeux et …

      « AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! »

      Subtil.
      Tes doigts se sont crispés contre la dalle, tes yeux, s’égayent de leur ouverture maximale, te permettant une vue presque douloureuse de la situation et ta baguette glisse juste au piédestal de la chose, hors de portée pour te défendre. Tu jures en anglais.

      « Damn shit ! What is this fucking thing doing here ? »

      Élégant comme jamais auparavant, tu te relèves en dépoussiérant tes vêtements. D’un œil platoniquement mauvais, tu avances d’un pas, t’accroupissant sous la voute de la statue qui t’observe de son regard de pierre. Elle doit bien s’esclaffer de ta naïveté, de cette crainte puérile à l’égard d’un être inanimé. Un autre « fuck » s’expulse de ta bouche et du bout de doigt, aidé de tes ongles, tu récupères ta baguette.

      « Who’s laughing now, huh ? I am asking you a fucking question ? Who’s laughing ? Not you, damn thing. I am ! »

      Ah bon ?
      Tu ris ? Tu devrais plutôt cesser de faire le coq, victorieux, la crinière au vent, chaque œil roulant en sens inverse. Tu danses devant la statue qui devrait éclater bientôt, si on en croit cette débilité profonde à laquelle tu l’exposes. Une fois serein, puisque tu ne peux pas te satisfaire du triomphe contre un objet, tu soupires longuement. Très longuement. Le genre de soupir que tu n’as pas besoin de décrire. Éperdu, regrettable, pensif.

      « Et toi ? T’en pense quoi de « ça » ? Hein ? L’abandon. Non, le terme est beaucoup trop fort. Trop fort. Que dis-tu ? Non, non. Abel a les priorités à la bonne place. Il est juste … hum, bah il est juste lui. C’est ambigu comme description, qu’en sais-je ?, mais le truc c’est que même s’il est un con doublé d’un mec à la poisse terrible, il me ferait pas le coup de l’oubli. C’est ce qui m’inquiète le plus, je dois dire. Et toi, qu’est-ce qui t’amènes ici ? »


Dernière édition par Eric J. Hemingway le Mer 11 Juil - 1:35, édité 2 fois
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Message Posté Jeu 29 Déc - 2:21.
Pour la première fois depuis longtemps tu te sens vivante. L'adrénaline fait vibrer chaque cellules de ton corps. En allant te coucher cette nuit là, tu n'aurais jamais imaginé que l'insomnie te pousserais à briser le couvre-feu instauré par l'Organisation et à allé te balader dans l'académie.
Vêtue d'un simple short et d'un débardeur tu ne crains pas la morsure du froid sur ta peau, au contraire. Silencieuse, tu te faufiles au dehors, respirant l'air gelé de ce mois d'avril. Un sourire naît sur tes lèvres, Beauxbâtons est si belle de nuit. Le ciel est dégagé, tu pourrais t'amuser à compter les étoiles si seulement des bruits de pas n'avaient pas troublés ta quiétude.
Les battements de ton coeur redoublent d'intensité tandis que tu fuis en toute hâte. Tu sais que si tu te fais attraper, tu risques la mort. Pénétrant dans le premier bâtiment venu, tu continues à courir jusqu'à ce que tu puisses te cacher derrière une immonde statut.
Tu ignores combien de temps tu es restée cacher là, le cœur battant. Secouée par un rire silencieux, tu t'arrêtes en entendant des bruits de pas au dehors. Serrant ta baguette entre tes doigts délicats, tu te tiens prête à te défendre.

    «AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! Damn shit ! What is this fucking thing doing here ? Who’s laughing now, huh ? I am asking you a fucking question ? Who’s laughing ? Not you, damn thing. I am ! Et toi ? T’en pense quoi de « ca » ? Hein ? L’abandon. Non, le terme est beaucoup trop fort. Trop fort. Que dis-tu ? Non, non. Abel a les priorités à la bonne place. Il est juste … hum, bah il est juste lui. C’est ambigu comme description, qu’en sais-je ?, mais le truc c’est que même s’il est un con doublé d’un mec à la poisse terrible, il me ferait pas le coup de l’oubli. C’est ce qui m’inquiète le plus, je dois dire. Et toi, qu’est-ce qui t’amènes ici ? »


Un sourire étires tes lèvres. Tu pourrais reconnaître cette voix entre milles. C'est cette même voix que tu entends tout les matins en prenant ton petit-déjeuner, cette voix que tu entends chuchoter en cours et qui te fait rire. Eric. Tu ne sais pas pourquoi mais quelque chose chez ce garçon te rassure, pas de la même façon que Soltan mais tout de même. Tu lui fais assez confiance pour te confier à demi mot, pour le prendre dans tes bras quand il va mal. Tu ne le crains pas, son amour pour Aqua est quelque part un gage de son intégrité vis à vis de toi. Il ne recherche pas la vélane qui dors au plus profond de toi, non, il t'apprécie pour toi, pour Gaïa, pour ta gentillesse et ta façon de répandre la bonne humeur partout où tu passes – ou presque.
Toujours cachée derrière ta statut, tu décides de jouer un tour au jeune Zeus. Après tout, il t'a terriblement effrayé avec son entrée plus que fracassante.

    « Je pense qu'être abandonné par un être cher est la chose la plus terrible qui soit. On se sent rabaissé, comme si on ne méritait l'attention de personne. Pour qu'une personne nous abandonne il doit y avoir une bonne raison, c'est qu'on n'était pas digne d'elle, et donc c'est que nous ne sommes pas dignes des autres, non ? »


Ta voix avait fini par se teinter de douleur, toi aussi tu avais été abandonnée. Pendant longtemps tu avais imaginé que c'était parce que tes deux parents étaient morts dans un accident de voiture, seulement, l’existence de Daphné, cette jumelle retrouvée par hasard et la découverte d'un père encore vivant avait bousculé tout ton univers. Pourquoi est- ce qu'il l'avait sauvé elle ? Pourquoi pas toi ? Méritait-elle plus d'attention ? Serais-tu devenue elle si tu avais été à sa place ?
Estimant avoir fait assez peur à Eric comme ça, tu décides de montrer ta tête sur le côté droit de la statut. Un sourire innocent flotte sur tes lèvres, toi, l'élève sérieuse, préfète de son écurie dehors à cette heure-ci. Ce n'était définitivement pas le bon exemple à donner !

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Message Posté Jeu 29 Déc - 22:40.
      Wait, wait. It talks ? I mean, it talks like talking ?

      La magie. À Londres, elle est discrète. Ici, elle se manifeste sous forme de statue parlante qui fournie conseils et outils aux étudiants de la belle institut française. Tu aimes la magie. La magie pure qui garde en toi ce côté enfantin et naïf. Elle te rend perplexe souvent. C'est que tu oublies souvent le détail de la magie. Par exemple, là, devant toi cette statue qui parle sans muer bouche. A-t-elle des lèvres, seulement ? Tu te penches sur le côté, levant la jambe gauche pour balancer ton léger déséquilibre. Nah. Pas de lèvres, pas de bouche, une espèce de façade érodée par la magie. Mais ça parle. Et comment que ça bavarde : ça jacasse et ça bavasse. Tu n'as pas écouté les phrases. Tu étais bien trop surpris, cela va de soi. Quand Gaïa sort du derrière de la statue parlante, tu es d'autant plus perdu. Mais, mais ; et l'Organisation ? Elle ne parcourt pas sentiers et jardins à la recherche du premier piment à cueillir ? Mais il n'y a pas de piments à BeauxBâtons ? Pourquoi des piments ?

      « Euh ... T'as des piments ? »

      Ah bon ? La seule raison qui pousse ta meilleure amie à quitter son dortoir est un piment ? La nuit te va mal, mon cher. Tu as envie d'un piment, là tout de suite, et ce n'est pas bon pour ta langue et tes papilles gustatives. Tu digères mal quand c'est trop acide. Pas tout le temps, mais quand ça chauffe, ton estomac le prend mal. Comme s'il prenait en croupe les aliments qui picotte pour tu-ne-sais quelle raison. Et si c'était magique ?

      Tu t'approches de ta meilleure amie tout sourire. Tu as oublié pourquoi tu avais peur et si peu s'en faut pour que tu dises coucou à la statue et que tu lui donnes la bise française. Tes yeux glissent sur l'habit de Gaïa. Elle semble être dans la même situation que toi ; déphasée envers et contre la nuit et forcée à se cacher de l'Organisation. Ils peuvent bien crever ces connards, te dis-tu. N'empêche qu'ils la terrorisent et que tu n'es pas friand de la voir dans cet état. Tu décides de lui changer les idées. Tu es trop un génie. La lumière sort de tes deux oreilles tant ton cerveau est luminescent derrière ta boîte crânienne et c'est à peine une hyperbole.

      « T'as vu ? La statue parle ! Tu crois qu'elle a des amies dans ce château ? Ou une maman statue et un papa statue ? Sont-ils célèbres ? T'imagines si on se trouvait devant la fille de la statue de la Liberté ? Quoiqu'il y en ait deux. Mais c'est cool quand même ! »

      Cela te semble moins génial une fois hors de toi, cependant, tu souris à Gaïa, tel un gaillard tonitruant et stupide. C'est un peu le cas.

      Ce qui te mine l'esprit est que malgré tout, elle reste triste. Tu l'es aussi, d'ailleurs. Le visage d'Abel te reviens ; flou, parce que les mois depuis ta dernière rencontre avec ton frère s'accumulent. Tu pourrais peut-être lui en parler. Après tout, elle est ta meilleure amie, non ? C'est elle qui peut bien conserver tous tes secrets dans le revers de sa manche sans jamais céder la clé de ces secrets à quiconque. Dans ton cas, c'est réciproque. À temps partiel, il vaut mieux le spécifier. Le fait que tu crois encore que c'est la statue qui parle prouve que tu peux délivrer un secret aussi anodinement qu'un piment. Et le piment ajoute à ce fervent argument en défaveur à ce que Gaïa te confesse ses maux. Vie de misère, Eric, tu n'es pas digne de la foi de Gaïa.

      « Que se passe-t-il Gaïa ? Ce n'est pas dans tes habitudes ce ... cette ... bah de te retrouver ici avec moi, la nuit. »

      Tu n'es pas diplomate. Si près que tu lui proposes presque d'aller cabrioler avec elle derrière la statue parlante.


    Dernière édition par Eric J. Hemingway le Mer 11 Juil - 1:32, édité 3 fois
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    Message Posté Sam 28 Jan - 17:43.
      « Euh ... T'as des piments ? »


    La phrase était sortie si naturellement de la bouche de ton meilleur ami que tu n’as pas pu t’empêcher de sourire. Il était plusieurs personnes à la fois, parfois plutôt intelligent, assez en tout cas pour déceler chez toi ce que les autres ignoraient, et pourtant parfois il sortait des choses si absurdes que tu te demandais si il était réellement un humain normalement constitué.
    Pourtant c’est cette naïveté et cette enfance qui t’ont touchés la première fois que tu l’as rencontré, c’est ce qui a fait la différence, c’est pour ça qu’Eric est aujourd’hui ton meilleur ami, pour ça que tu peux te retrouver au beau milieu de la nuit dans l’académie, avec des membres de l’Organisation patrouillant et pouvant décider de vous tuer sans autre forme de procès, et uniquement vêtue d’un short et d’un débardeur sans pour autant craindre pour ta vie. Le sourire d’Eric t’intrigue, au fond de toi tu sens venir l’une de ses fameuses phrases, celles qui te font craindre pour sa santé mentale mais qui malgré toi te redonnes le sourire.

      « T'as vu ? La statue parle ! Tu crois qu'elle a des amies dans ce château ? Ou une maman statue et un papa statue ? Sont-ils célèbres ? T’imagine si on se trouvait devant la fille de la statue de la Liberté ? Quoiqu'il y en ait deux. Mais c'est cool quand même !
      - Ça serait vraiment cool effectivement ! Mais dans ce cas-là, toutes les statuts de l’académie seraient des enfants de statuts célèbres, t’imagines ? D’un autre côté on a quand même Mona Lisa en fondatrice, ça c’est vraiment la classe. Et de toute façon, je suis plus mieux que toutes ces statuts, non ? »


    Et voilà que tes phrases elles-mêmes perdaient tout sens. Tu t’en fichais, ce soir n’était pas un soir normal, après tout tu avais quitté ton dortoir en brisant le couvre-feu, ce n’était pas quelque chose d’habituel. Il y a une atmosphère étrange qui planait sur l’académie, un sentiment tortueux qui s’était infiltré en toi. Ce soir, l’absence de Daphné te pesait plus encore que ces derniers mois sans elle. Tu ne cessais de lire le journal de votre mère, encore et encore, cherchant un indice, quelque chose qui aurait pu t’indiquer quoique ce soit sur le fait qu’Irina n’attendait pas un, mais bien deux enfants. Rien, absolument rien, le silence de Mlle Courterois était en plus un élément qui aggravait la situation. Tu voulais des réponses, des indices, ou un moins du réconfort. Tu n’osais pas prendre le risque de déranger Soltan, si quelqu’un vous voyait ensemble c’était la fin de sa carrière de professeur, ou même la fin de sa liberté et ça, tu ne te le pardonneras pas.

      « Que se passe-t-il Gaïa ? Ce n'est pas dans tes habitudes ce ... cette ... bah de te retrouver ici avec moi, la nuit.
      - Je ne sais pas, je n’arrivai pas à dormir. Et puis avec la disparition de Lila je me sens mal, j’aime pas être seule la nuit avec l’Organisation qui traîne dans les parages, je me sens vulnérable. Au moins, réveillée je peux me défendre, tu vois ? Et puis avec toi, je ne risque rien hein ? »


    Tu avais posé cette question avec une innocence flagrante. Pour toi, Eric n’était pas un garçon, c’était juste Eric, ce garçon de ton écurie âgé d’un an de moins que toi, amoureux de sa Marie, et ton meilleur ami. Celui qui t’arrachait toujours un sourire le matin au réveil, qui savait percevoir le moindre de tes changements d’humeur, et même si tu ne te laissais pas aller à toutes sortes de confidences, il était l’élève de l’académie en qui tu avais le plus confiance.

      « Je peux te dire un secret ? Un vrai de vrai ? »


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    Message Posté Mer 11 Juil - 17:39.
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